[one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]« Le consumérisme hédoniste peut nous jouer un mauvais tour,
parce qu’avec l’obsession de passer du bon temps,
nous finissons par être excessivement axés sur nous-mêmes,
sur nos droits et sur la hantise d’avoir du temps libre pour en jouir.
Il sera difficile pour nous de nous soucier de ceux qui se sentent mal
et de consacrer des énergies à les aider,
si nous ne cultivons pas une certaine austérité,
si nous ne luttons pas contre cette fièvre
que nous impose la société de consommation pour nous vendre des choses,
et qui finit par nous transformer en pauvres insatisfaits qui veulent tout avoir et tout essayer.
La consommation de l’information superficielle
et les formes de communication rapide et virtuelle
peuvent également être un facteur d’abrutissement
qui nous enlève tout notre temps et nous éloigne de la chair souffrante des frères.
Au milieu de ce tourbillon actuel, l’Évangile vient résonner de nouveau
pour nous offrir une vie différente, plus saine et plus heureuse.. » (§ 108)[/fusion_text][/one_full]