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L’AMOUR EST UNE PASSION
C’est l’HEURE. Non certes de partir en vacances. Comment me distraire au moment anniversaire de la mort de mon Seigneur qui a donné sa vie pour moi et qui m’a sauvé ?
C’est l’Heure de faire mémoire et de revivre – par la liturgie et en communauté d’Eglise – la semaine la plus importante de l’histoire du monde.
Nous recentrer sur le pivot où tout s’est rééquilibré. Revenir au foyer où brûlent les questions les plus incandescentes : pourquoi le mal ? Pourquoi la souffrance des innocents ? Pourquoi fallait-il la croix ? Qu’est-ce que l’amour ? Comment pardonner ? Qui donc est ce Jésus de Nazareth ? ………
Les réponses ne sont pas données par un cours de religion ou un catéchisme. Mais en suivant les événements d’une semaine. Car c’est dans l’histoire –mémoire et actualité – que l’on découvre le vrai Dieu et que l’on apprend comment vivre et mourir.
DIMANCHE : JESUS ENTRE A JERUSALEM
De partout des caravanes de pèlerins affluent vers la capitale pour célébrer Pessah (Pâque = passage). On fait mémoire, pendant 8 jours, de l’événement fondateur d’Israël : l’Exode, quand Dieu a « fait passer » nos ancêtres de l’esclavage à la liberté. Or il a promis qu’un Messie viendrait encore nous libérer. Ne serait-ce pas ce Jésus auquel on fait un triomphe ? Réjouissance populaire basée sur un énorme malentendu. Il fallait comprendre le signe donné par les Ecritures (Zacharie 9, 9) :
« Tressaille d’allégresse, fille de Sion. Pousse des acclamations ! Voici que ton Roi s’avance vers toi : il est juste et victorieux, humble, monté sur un âne, un ânon tout jeune. Il supprimera le char de guerre…il brisera l’arc de guerre. Et il proclamera la paix pour toutes les nations »
L’âne me fait comprendre. Ne pas lancer une charge à cheval à l’assaut des autres mais accepter de porter la charge de l’Evangile. Avoir des grandes oreilles pour bien écouter ce que Dieu me dit vraiment. Aller lentement, patiemment. Accepter de recevoir des insultes, d’être objet de dérision dans un monde où le chrétien pratiquant est un imbécile, un âne.
LUNDI : PURIFIER L’EGLISE
Le peuple attendait que le Messie extermine les occupants païens ; les prêtres dévots et les pieux pharisiens étaient sûrs que le Messie allait maudire les impies, les femmes de mauvaise vie, toute cette lie qui n’observait pas tous les préceptes de la Loi et de la Liturgie.
Or Jésus ne se dirige pas vers la citadelle de Pilate ni ne condamne à l’enfer tous les mauvais : au contraire il se dirige directement vers le Temple et en chasse les marchands et les animaux.
De même le pape François dénonce l’horreur des guerres, la course aux armements, la pollution et il multiplie les appels à la paix et à la justice. Mais tout de suite il s’est attaqué au scandale de la pédophilie, à la corruption de certains dirigeants de la Banque du Vatican.
Le mouvement de libération pascale vise d’abord la conversion de l’Eglise. Car un médecin n’a pas à critiquer la gravité de l’état de son malade mais à développer sa propre science, à affiner ses méthodes curatives, à se dévouer davantage.
MARDI : APPRENDRE SA FOI
Que fait Jésus en ces derniers jours qui précèdent la Pâque ? Il n’opère pas des guérisons. Du matin au soir, il s’installe sur l’esplanade du temple et il enseigne et il annonce la Bonne Nouvelle. Le soir, il va chez des amis à Béthanie qui l’accueillent pour la nuit.
La foi n’est pas qu’une vague impression et la liturgie ne se réduit pas à des rites régulièrement observés. Lorsque des baptisés en restent à des souvenirs d’un catéchisme d’enfants, il est facile à la société de les convaincre d’être des débiles qui croient encore à un tissu de légendes.
Tout près des prêtres qui brûlent l’encens, offrent des sacrifices et chantent des cantiques, Jésus parle, explique, réfute les objections, éclaire les points obscurs. Il n’est pas un théologien qui jongle avec des concepts abstraits. Le comprendre n’est pas une question d’érudition ou d’intelligence mais de cœur. Jésus parle en images, il développe ses paraboles « Et le peuple l’écoutait avec plaisir » (Lc 20, 1…).
Encore une fois, il faut regarder l’exemple de notre pape. Il parle, il parle, il parle…Son langage familier séduit, ses images portent, sa joie de croire éclate, sa conviction profonde que, dans un monde qui s’étourdit dans un flot de mensonges et qui fonce tête baissée vers l’abîme, il est urgent de faire retentir la Bonne Nouvelle. De dire aux gens qu’ils ont bien fait de perdre une foi qui n’en était pas une. Qu’ils ont raison de demander des changements à leur Eglise.
Qu’ils prêtent donc l’oreille à un message qui contredit tous les slogans d’une société cupide.
En ces jours, je prends le temps de m’interroger, de lire l’Evangile, d’enraciner ma foi.
MERCREDI : « GASPILLER » POUR JESUS
Chaque soir, Jésus est accueilli à Béthanie. Tout à coup, en plein repas, une femme entre, s’approche de Jésus et verse sur sa tête un parfum de grand prix. « Gaspillage, murmurent les disciples scandalisés, on aurait pu donner cet argent aux pauvres ».
Mais Jésus justifie la femme : « Elle exprime sa reconnaissance mais son geste la dépasse. Elle me oint comme le Messie : je vais être couronné (d’épines) et je serai hissé sur mon trône (la croix). Et elle prédit mon embaumement (je vais mourir).
Comme elle, cette semaine, donnez-moi tout : votre temps, vos prières, vos réflexions afin de comprendre ce qui se vit en ces jours. A quel prix je paie votre salut et votre réconciliation. Ce n’est pas du « gaspillage ». Plus vous m’honorerez à Pâques, plus vous deviendrez actifs ensuite pour donner votre vie, vos talents, votre argent pour soutenir les pauvres ».
La Grande Semaine éclaire et vivifie tout le reste de l’année.
JEUDI : CECI EST MON CORPS
Au centre de notre parcours de cette semaine, éclate ce que nous appelons banalement « la messe » et qui est l’extraordinaire invention de Jésus.
Au moment où Judas le vend aux grands prêtres qui vont le livrer à Pilate qui va le livrer à la croix, Jésus apprend à ses disciples (qui évidemment ne comprennent pas) qu’il n’est pas un objet que l’on manipule mais un sujet qui agit en toute conscience. On ne le prend que parce qu’il se donne. On ne le tue que parce qu’il s’offre à son Père.
« Ceci est mon corps…ceci est mon sang » : la mémoire de la mort est évidente mais elle est don de nourriture donc de vie pour les disciples. Je me donne à mon Père : donc il me donnera la Vie. Je me donne à vous donc vous vivrez. Et vous vivrez de moi. Pour que vous, ensuite, vous donniez, par amour, votre corps et votre sang.
La Passion commence par l’action. C’est pourquoi la croix sera à jamais active, puissance d’action divine.
La croix, dans son horreur de souffrances, va éparpiller, disperser les disciples : l’Eucharistie les réunira, les rassemblera. Car tout de suite les disciples comprendront qu’il leur faut se réunir non une fois par an, à Pâques, non le vendredi jour de la crucifixion, mais le 3ème jour, jour de la résurrection, Jour du Seigneur, dimanche. Affirmer le corps ressuscité de Jésus, c’est manifester son Corps qui est l’Eglise, assemblée pardonnée par la croix de son Seigneur et unie par son Amour infini.
VENDREDI : LA CROIX
Convergence de tout le mal dont nous sommes capables. Une foule qui vous applaudit puis qui vous rejette. Un ami qui vous trahit. D’autres amis qui s’enfuient sans vous défendre. Des prélats qui montent un procès truqué. Un Général qui signe le décret de mort pour un homme qu’il sait innocent. Des soldats qui vous crachent au visage, vous déshabillent tout nu, vous clouent sur un bois. Des gens qui ricanent devant un supplicié qui agonise. Des hommes capables d’inventer un des plus horribles supplices de l’histoire.
Quelqu’un me demandait : « Mais de quoi devons-nous être sauvés ? ». De toute cette monstruosité qui habite nos cœurs. Car qui oserait prétendre qu’il en est incapable ?
Ici l’ignominie indéfinie des hommes s’est croisée avec l’amour infini de Dieu : au centre l’homme nu est devenu pardon, miséricorde, réconciliation. Le sang coule sur le globe et le purifie.
SAMEDI : LE TOMBEAU ET LE SILENCE
C’est shabbat. La fête se déroule normalement. L’affaire Jésus a été réglée à la grande satisfaction des Puissants. On supplie Dieu d’envoyer un jour le Messie libérateur. Tous les disciples du condamné ont disparu. Là-bas, en marge de la ville, un tombeau fermé par une grosse pierre.
Le vide. L’échec total. « Après tout, il n’y a que la mort qui gagne » (J. Staline). Il y a des jours où tout paraît absurde.
Savoir tenir quand tout est perdu. Comme Pierre murmurer : « Je l’ai trahi : je suis perdu ».
Et attendre quand même. « Des profondeurs je crie vers Toi, Seigneur…j’attends de toute mon âme…Mon âme désire le Seigneur plus que la garde ne désire le matin…Mets ton espérance dans le Seigneur…il rachètera Israël de toutes ses fautes » (psaume 130).
Quelle est cette voix qui dit : « VOICI : JE VIENS BIENTÔT » (Apocalypse 22, 20) ?…[/fusion_text][/one_full][one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]
Raphaël Devillers, dominicain
Tél. : 04 / 220 56 93 – Courriel : r.devillers@resurgences.be
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Il y a cinq ans, François était élu pape
Surnommé le pape réformateur, François interpelle autant qu’il séduit. À l’occasion des cinq ans de son pontificat, Christiane Rancé, essayiste et auteur du livre « François, un pape parmi les hommes », revient pour Aleteia sur son image, son action et les défis qu’il doit relever. Le 13 mars 2013, Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, est élu 266e pape de l’Église catholique. Il prend alors le nom de François, en référence à saint François d’Assise. Élu avec pour mission de réformer l’Église et la Curie, le pape François chahute et bouscule.
Aleteia : Comment décririez-vous le « style » François ?
Christiane Rancé : Le style François, c’est celui des curés italiens du Piémont du siècle dernier, qui pratiquaient un christianisme à la fois pieux et fortement engagé auprès des plus pauvres. Ils suivaient l’exemple don Giovanni Bosco, ce fils de pauvres paysans de Castelnuovo, patrie originelle des Bergoglio, canonisé par Pie XI en 1934, et fondateur de l’Ordre des Salésiens de don Bosco. François a un petit côté don Camillo. Une bonhomie pleine de tendresse, de fermeté et de familiarité au sens noble du terme, et qui pousse celui qui la reçoit au meilleur de lui-même. Un don Camillo qui s’autorise à sermonner tous les Pepone du monde quand il sent que son Eglise est menacée. Ce style, c’est sa grand-mère Rosa Margarita qui l’a inspiré à François. Jorge Mario Bergoglio a été élevé dans l’admiration des œuvres de don Bosco, qui s’était dévoué à la cause des enfants abandonnés de Turin et à leur éducation, ainsi qu’au sort des vagabonds, et à toutes les périphéries sociales qui surgissaient en marge des premières villes industrielles. Lorsqu’il a été nommé archevêque de Buenos Aires, Bergoglio s’en est souvenu. Il a circulé en métro. Il demandait qu’on l’appelle monsieur le curé et consacrait ses après-midi à visiter les très nombreux bidonvilles qui ont fleuri à Buenos Aires dès les années 1990.
Quels sont, selon vous, les gestes forts du pape François ?
Son premier geste fort, a été de renouer immédiatement un lien de douceur et de confiance avec les fidèles. Dès qu’il est apparu au balcon, il leur a demandé, avec simplicité et humilité, de prier pour lui, puis il leur a souhaité une bonne soirée et un bon appétit. En quelques minutes, il a balayé la défiance d’un grand nombre de catholiques pour leur Église dont ils n’entendaient plus parler qu’à coup de scandales. Son deuxième geste fort a été de quitter la Chapelle Sixtine dans le même bus que les autres cardinaux, comme s’il était resté l’un d’eux, et de refuser de s’installer dans les ors des appartements pontificaux – il se démarquait ainsi d’une Institution de plus en plus mal perçue, qu’il accusera plus tard de se complaire dans les mondanités. Ensuite, il a annoncé sans attendre sa volonté de réformer une Curie de plus en plus compromise, et de plus en décalée par rapport aux attentes des fidèles, notamment sur les questions de la famille. Au lieu des vacances traditionnelles, il a demandé à tous de rester au Vatican pour mettre en route les grands chantiers qui lui semblaient prioritaires. Enfin, il a choisi pour premier voyage officiel d’aller à Lampedusa, lieu emblématique du martyre des Migrants, qu’il a toujours mis au cœur de sa pastorale et dont il veut, manifestement, faire l’une des marques de son Pontificat
Dans quel domaine son action vous paraît-elle la plus forte ?
Dans sa volonté de voir l’Église sortir d’elle-même pour aller à la rencontre du monde – un monde qu’il ne limite pas aux baptisés. Il le fait à l’imitation de ce qui est rapporté dans l’Évangile selon saint Matthieu (18 ; 12-14) et dans l’Évangile selon saint Luc (15 ;4-7) ainsi qu’à l’imitation de saint François d’Assise dont il a pris le nom – une première dans l’histoire de la papauté. Le pape François veut que les pasteurs de l’Église catholique aillent vers les plus pauvres, les plus égarés, et vers les plus nécessiteux dans toutes les acceptions du terme. C’est à eux tous qu’il ouvre les bras. De même, comme le saint d’Assise, il est allé à la rencontre des musulmans. Il s’est souvenu qu’au plus sanglant de la cinquième croisade, François a risqué sa vie pour traverser les lignes ennemies et rencontrer, à Damiette, le sultan Malik al-Kamil.
Selon vous, comment est perçu le pape François en-dehors de la sphère chrétienne ?
Excellemment bien, il me semble. Il est incontestable qu’il n’y a pas d’autre autorité religieuse dont la parole ait, aujourd’hui, un poids aussi important. Il est très écouté. La moindre de ses déclarations est répercutée dans tous les médias, et dans le monde entier. On tend d’autant plus l’oreille à ses propos qu’il a avoué clairement vouloir s’impliquer dans les questions politiques. Paradoxalement, il est peut-être mieux perçu à l’extérieur de l’Église, qu’à l’intérieur où il suscite des réserves et des oppositions inédites, car la plupart d’entre elles ne sont pas émises par des groupes qu’on qualifie, à tort ou à raison, d’extrémistes. Pas d’alarmisme pour autant, personne ne menace l’Église de scission, ou de schisme. Le Christianisme n’a jamais connu une telle progression, qui hélas s’accompagne aussi d’une progression du nombre de ses martyrs. Et comment le pape François ne rencontrerait-il pas quelques réticences ? Ce qu’il fait, ce qu’il demande nous met en face de nous –mêmes, et exige de nous une conversion radicale qui dérange nos conforts.
Quel est le principal défi qui attend le pape François ces cinq prochaines années ?
En Europe, il y a la crise de la vocation des prêtres. Beaucoup plus de gens qu’on ne le croit aimeraient franchir le seuil de leur église mais la porte est fermée, faute de prêtres. Plus mondialement, il y a les réponses à donner aux dévastations de l’ultra-libéralisme, et à l’adoration de plus générale pour le Veau d’or, ainsi qu’aux avancées techniques qui se présentent sous les couleurs prestigieuses du progrès, dont le transhumanisme n’est pas le moindre. Mais enfin, le plus grand des défis à mes yeux sera de faire entendre l’appel à la Paix qu’a toujours proféré le Christianisme, dans un monde où la violence sous toutes ses formes et les foyers guerriers décuplent. Son défi, sera de convertir de plus en plus d’hommes à la vérité des Évangiles, des hommes qui auront l’universelle volonté de maintenir la paix sur cette Terre. Rappelons l’adage qui veut que le christianisme demande, non pas comment va le ciel, mais comment on y va.
Quel regard portez-vous sur ces cinq années de pontificat ?
Un regard admiratif. Pour des raisons personnelles : j’ai suivi le pape François en Argentine, quand il était archevêque de Buenos Aires et j’ai vu son courage, son travail, et les vocations qu’il a suscitées. Pour des raisons objectives : en cinq ans, alors que les vaticanistes prédisaient qu’il serait impuissant à réformer la Curie, il a déjà entrepris d’énormes chantiers, accompli des réformes de taille, dont celle concernant les institutions financières.
Toutefois, cette admiration ne m’empêche pas de rester lucide. Dans la proximité qu’il a voulue et ses prises de parole, il y a eu des propos hâtifs, des jugements à l’emporte-pièce, et une certaine désaffection pour les églises d’Europe et leurs fidèles. Il y a aussi la question de la pédophilie qu’il doit aborder sans trembler, avec plus de courage et de détermination encore que pour tous les autres problèmes qu’il a attaqués. Là se joue la confiance en lui et en son Église, et plus encore, la possibilité d’une foi invincible en l’Église, celle dont elle a besoin pour relever tous les défis que les chrétiens du 21ème siècle auront à affronter.
Aleteia – sur le net – 18 2 2018
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