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25ème dimanche – Année A – 20 septembre 2020

Évangile de Matthieu 20, 1-16

La Parabole de l’embauche

25ème Dimanche – Année A – 20 septembre 2020 – Évangile de Matthieu 20, 1-16
Le Caravage : L'appel de Matthieu

Ce lundi 21 :
fête de Saint Matthieu, évangéliste

INTERVIEW DU PAPE FRANCOIS (par le Père Sparado, jésuite)

Je lui demande : « Qui est Jorge Mario Bergoglio ? ». Le pape me fixe en silence...Il me dit : « Je ne sais pas quelle est la définition la plus juste... Je suis un pécheur ...Ce n’est pas une manière de parler... Je suis un pécheur sur lequel le Seigneur a posé son regard ».

Il poursuit : « Je suis un homme qui est regardé par le Seigneur. Ma devise « Miserando atque eligendo », je l’ai toujours ressentie comme pour moi profondément vraie ».

Note : La devise du pape François est tirée des homélies de St Bède qui, commentant l’épisode évangélique de la vocation de Matthieu, écrit : « Jésus vit un publicain et, le regardant avec amour et le choisissant, lui dit : Suis-moi.

Il poursuit : « A Rome, je visitais souvent l’église Saint-Louis-des-Français et j’allais contempler le tableau « La vocation de Saint Matthieu » du Caravage... Ce doigt de Jésus vers Matthieu. C’est comme cela que je suis, moi. C’est ainsi que je me sens, comme Matthieu ...

C’est le geste de Matthieu qui me frappe : il attrape son argent comme pour dire : « Non, pas moi ! Non, ces sous m’appartiennent ! ». Voilà, c’est cela que je suis : un pécheur sur lequel le Seigneur a posé les yeux. C’est ce que j’ai dit quand on m’a demandé si j’acceptais mon élection au pontificat ».

Pape François : L’Église que j’espère – éd. Flammarion 2013 - p.31

Évangile de Matthieu 20, 1-16

La Parabole de l’embauche


« Que chacun pardonne à son frère de tout son cœur » : ce sont les derniers mots de l’instruction de Jésus à ses disciples. Là-dessus, il quitte définitivement la Galilée et passe en Judée où il prend la route qui longe le Jourdain avant de remonter à Jérusalem, son but ultime. Partout il est assailli par les foules et il opère des guérisons ce qui conforte les gens dans la conviction qu’il est le Messie qui va faire éclater sa puissance dans la capitale. Car la fête de la Pâque approche. Or Jésus l’a affirmé dès son point de départ et il continue de l’enseigner: il sera refusé, arrêté et exécuté car il va contester les hautes autorités d’Israël.

Sur ce chemin, Jésus fait des rencontres qui lui permettent de donner un enseignement. Aux Apôtres ambitieux, il ordonnait d’être simples comme des enfants, pleins de prévenance pour les croyants chétifs et très miséricordieux envers les pécheurs.

Maintenant aux Pharisiens qui le questionnent avec perfidie, il rappelle que la femme n’est pas un objet que l’on peut renvoyer à sa guise. Et il ajoute même que si le mariage est la voie normale, certains choisiront la vie célibataire « à cause du Royaume de Dieu ».

Puis, comme ses disciples remballent des mamans qui voudraient que Jésus bénisse leurs tout-petits, il les rabroue : « Laissez-les puisque le Royaume est à ceux qui sont comme ces petits ».

Ensuite, à un jeune riche qui lui demande comment aller au ciel, Jésus propose de renoncer à tous ses biens pour le suivre. Il en est incapable. D’où l’instruction sur l’argent : « Je vous le déclare : un riche entrera difficilement dans le Royaume ... Mais vous, les Douze qui avez tout laissé, vous jugerez les 12 tribus ...Et quiconque aura tout abandonné pour moi recevra la Vie éternelle »

Toutes ces petites scènes ne sont pas de simples anecdotes à lire en vitesse. Jésus n’est pas un théologien qui écrit de gros livres indigestes que peu de personnes lisent. Selon les rencontres et sur tous les domaines fondamentaux de la vie (mariage, enfants, argent), il donne un enseignement clair, bref et radicalement neuf qui nous bouscule. C’est pourquoi il le termine en disant : « Beaucoup de premiers seront derniers, et beaucoup de derniers, premiers » (19, 30) – ce qu’il va encore illustrer en racontant la parabole qui constitue notre évangile de ce dimanche.

L’appel incessant à l’embauche


Le Royaume de Dieu est comparable au maître d’un domaine qui sortit au petit jour afin d’embaucher des ouvriers pour sa vigne. Il se mit d’accord avec eux sur un salaire d’une pièce d’argent pour la journée et il les envoya à sa vigne. Sorti vers 9 h., il en vit d’autres sur la place, sans travail. « Allez aussi à ma vigne : je vous donnerai ce qui est juste ». Il sortit vers midi puis vers 3 h. puis vers 5 h. : « Pourquoi restez-vous là toute la journée sans rien faire ? – Parce que personne ne nous a embauchés – Allez à ma vigne ».


Avant d’en venir au scandale du salaire identique, il faut souligner au préalable l’attitude du Maître, image évidente de Dieu. Dieu appelle : il ne réquisitionne pas, il ne force pas, il ne menace pas. Il invite tous les hommes à répondre librement et à venir travailler dans son domaine.

Car mystérieusement, parmi toute l’étendue de la terre et la longueur du temps, Dieu possède une vigne. Elle n’a pas de territoire, pas de frontière, pas d’armée, pas de langue spéciale. Elle est constituée de personnes qui ont répondu à l’appel et qui ont compris que rien n’était plus important que de penser, de parler et de faire comme Dieu le demande, de lutter sans relâche contre l’égoïsme, la haine, la cupidité, l’orgueil et de porter du fruit : bonté, pardon, justice, paix, joie, solidarité, entraide. Bref d’aimer, de pratiquer la charité au sens de l’Évangile.

Y a-t-il rien de pire que de ne pas entendre ou de refuser cet appel à l’amour ? Rester enfermé en soi-même, créer sa bulle équipée de tout le confort, ne projeter que son développement personnel, se méfier des autres comme autant de concurrents à éliminer pour faire carrière, se croire important en accumulant des choses : vous appelez cela vivre ?

Chloroformées par les médias et la publicité qui les pressent – nouveaux gadgets – à posséder une piscine et à faire une croisière autour du monde, des multitudes n’entendent que les appels d’une société qui ne les incite qu’à produire et consommer des choses.

On est au courant de tout ce qui se passe dans le monde sans s’interroger sur le sens du temps qui passe. Des maîtres assurent que l’on a un destin mais pas une destination.

Catastrophique est le chômage professionnel : tragique est le chômage du cœur. « Que faites-vous là à ne rien faire ? Personne ne nous a embauchés ». Rien ne devrait nous presser davantage à la mission que cette réponse d’une infinie tristesse.

Dieu nous appelle tous pour que notre existence ait un sens, pour que nous vivions selon sa volonté, pour que nous luttions contre les puissances du mal, pour que, par sa grâce, nous établissions droit et justice.

Dieu appelle dans le déroulement de l’histoire mondiale : dès la création de l’homme, puis dans la vie prophétique d’un peuple, Israël, et maintenant par Jésus le Messie final à travers l’Église universelle.

Dieu appelle tout au long de l’existence de chacun et il arrive que des errants, des grands pécheurs, après bien des dérives, entendent enfin l’appel au bonheur de Dieu et sortent de l’absurde. Alléluia, quelle joie !

A travaux inégaux, salaire égal


Le soir venu, le maître dit à son intendant de distribuer le salaire en commençant par les derniers : ils reçurent une pièce . Les premiers reçurent aussi une pièce et ils récriminaient : « Ces derniers n’ont fait qu’une heure et tu les traites comme nous qui avons enduré le poids du jour ?! ». Mais le maître répondit : « Mon ami, je ne te fais aucun tort. Tu as été d’accord avec moi pour une pièce. Va, je veux donner à ce dernier autant qu’à toi. N’ai-je pas le droit de faire ce que je veux de mon bien ? Vas-tu regarder avec un œil mauvais parce que moi, je suis bon ? ». Ainsi les derniers seront premiers et les premiers seront derniers »


Depuis notre tendre enfance, lorsque nous regardions maman découper le gâteau au chocolat, nous avons d’instinct un grand sens de l’injustice. En tout cas quand elle nous blesse. Notamment lorsque la petite sœur paraissait recevoir une part minusculement plus grande que la nôtre : « C’est trop injuste ! ». Aussi, même sans être syndicalistes, nous partageons la stupeur et la colère des ouvriers qui ont travaillé toute une journée sous un soleil de plomb et qui voient le patron payer le même salaire aux types embauchés à la dernière heure. « C’est trop injuste : grève générale ! ».

Pourtant le maître a montré par là une justice plus grande. D’abord il a rempli la clause du contrat : un denier pour une journée de travail. Les premiers ne sont lésés en rien. Ensuite, parce qu’il est animé d’une bonté beaucoup plus grande. Eux accepteraient très bien que les derniers ne reçoivent qu’une fraction du salaire or on sait qu’avec cette somme on ne peut nourrir sa famille. Le patron au bon cœur ne l’a pas oublié et d’ailleurs n’a-t-il pas le droit de disposer de son argent comme il l’entend ?

Toutefois il faut dépasser ce problème de justice sociale puisque la parabole est une comparaison pour faire comprendre ce qu’est « le Royaume de Dieu ». Celui-ci n’est pas une friandise dont on reçoit une part au prorata de son labeur ou de ses mérites. L’union à Dieu qu’est l’éternité ne se fractionne pas : elle est une plénitude qui comble.

Le bon Berger donne beaucoup plus d’affection à la brebis retrouvée précisément parce qu’elle était partie et malheureuse. Le vieux père pleure de joie en étreignant son cadet qui revient à la maison parce qu’il sait le malheur qu’il a souffert tandis que l’aîné enrage parce que son cadet a goûté des plaisirs qu’il s’est refusé. La Mère de Jésus se réjouit de l’accueil de Marie-Madeleine et Pierre de la miséricorde faite au bon larron.

Le verbe « murmurer » employé dans ces deux paraboles ne désigne pas un chuchotement discret mais une opposition frontale à la volonté de Dieu, une incompréhension de son dessein d’aimer tous les hommes, de leur pardonner afin de les unir dans un même amour.

De même les fils d’Israël qui ont depuis longtemps porté le joug de la Torah avec ses contraintes n’ont pas à jalouser les païens qui ont pu mener une existence débridée et qui maintenant reçoivent gratuitement le pardon. Le Seigneur Jésus a offert sa vie justement pour tous, afin que tous forment le peuple de Dieu. Il a brisé le mur qui les séparait. Là est la Bonne Nouvelle.

Une Église, une paroisse n’est pas un cercle clos de bien-pensants, une forteresse de catholiques impeccables. Toujours elle doit laisser la porte entr’ouverte, souffrir de tant de places vides, montrer qu’elle est incomplète, qu’elle attend le retour des manquants. Elle sort à toute heure, elle appelle en quête de tous ceux qui n’ont pas été embauchés, elle manifeste la joie immense des hommes qui ont compris le sens de leur vie. Et plus aucun ne se demande : « Qui est le plus grand ? ». Car tous nous sommes des enfants pardonnés.

Frère Raphaël Devillers, dominicain

Pape François : La destination universelle des biens et la vertu de l’espérance

Pape François : La destination universelle des biens et la vertu de l’espérance


« … La pandémie a souligné et aggravé les problèmes sociaux, en particulier l’inégalité. L’économie est malade. Elle est tombée malade. C’est le fruit d’une croissance économique inique qui ne tient pas compte des valeurs humaines fondamentales. Dans le monde d’aujourd’hui, quelques personnes très riches possèdent plus que tout le reste de l’humanité. Je répète : quelques personnes très riches possèdent plus que tout le reste de l’humanité.

C’est une injustice qui crie au ciel !

Dans le même temps, ce modèle économique est indifférent aux dommages infligés à la maison commune. Nous allons bientôt dépasser un grand nombre des limites de notre merveilleuse planète, avec des conséquences graves et irréversibles : de la perte de biodiversité et du changement climatique à l’élévation du niveau des mers et à la destruction des forêts tropicales.

« Au commencement, Dieu a confié la terre et ses ressources à la gérance commune de l’humanité » ( Catéchisme de l’Eglise catholique, n. 2402). Mais attention à ne pas interpréter cela comme une carte blanche pour faire de la terre ce que l’on veut. Non. Il existe « une relation de réciprocité responsable » ( ibid.) entre nous et la nature. En effet, la terre « nous précède et nous a été donnée » (ibid.), elle a été donnée par Dieu « à tout le genre humain » (CEC, n. 2402).

Il est donc de notre devoir de faire en sorte que ses fruits arrivent à tous, et pas seulement à quelques-uns.

« L’homme, dans l’usage qu’il en fait, ne doit jamais tenir les choses qu’il possède légitimement comme n’appartenant qu’à lui, mais les regarder aussi comme communes : en ce sens qu’elles puissent profiter non seulement à lui, mais aussi aux autres » (Vatican II - Gaudium et spes, n. 69)

En effet, « la propriété d’un bien fait de son détenteur un administrateur de la Providence pour le faire fructifier et en communiquer les bienfaits à autrui » (CEC, n. 2404). Nous sommes administrateurs des biens, pas les propriétaires. Administrateurs. « Oui, mais ce bien est à moi ». C’est vrai, il est à toi, mais pour l’administrer, par pour le garder de façon égoïste pour toi.

La « subordination de la propriété privée à la destination universelle des biens est une “règle d’or” du comportement social, et le premier principe de tout l’ordre éthico-social » (LS, n. 93) (Cf.Jean-Paul II, Lettre Laborem exercens, 19).

Les propriétés, l’argent sont des instruments qui peuvent servir à la mission. Mais nous les transformons facilement en fins, individuelles ou collectives. Et lorsque cela a lieu, on porte atteinte aux valeurs humaines essentielles. Créés à l’image et ressemblance de Dieu, nous sommes des êtres sociaux, créatifs et solidaires, avec une immense capacité à aimer. Nous oublions souvent cela. De fait, nous sommes les êtres les plus coopératifs parmi toutes les espèces, et nous nous épanouissons en communauté,

Nous ne pouvons pas rester impassibles !

Quand l’obsession de posséder et de dominer exclut des millions de personnes des biens primaires ; quand l’inégalité économique et technologique est telle qu’elle déchire le tissu social ; et quand la dépendance vis-à-vis d’un progrès matériel illimité menace la maison commune, alors nous ne pouvons pas rester impassibles.

Avec le regard fixé sur Jésus (cf. He 12, 2) et la certitude que son amour œuvre à travers la communauté de ses disciples, nous devons agir tous ensemble, dans l’espérance de donner naissance à quelque chose de différent et de meilleur. L’espérance chrétienne soutient la volonté de partager, en renforçant notre mission en tant que disciples du Christ, qui a tout partagé avec nous.

Et cela, les premières communautés chrétiennes, qui comme nous, vécurent des temps difficiles, l’ont compris. Conscientes de former un seul cœur et une seule âme, elles mettaient tous leurs biens en commun, en témoignant de la grâce abondante du Christ sur elles (cf. Ac 4, 32-35).

La pandémie nous a tous plongés dans une crise.

On ne peut pas sortir pareils d’une crise : ou bien l’on sort meilleurs, ou bien l’on sort pires. Après la crise, est-ce que nous continuerons avec ce système économique d’injustice sociale et de mépris pour la sauvegarde de l’environnement, de la création, de la maison commune ? Réfléchissons-y.

Puissent les communautés chrétiennes du 21ème siècle retrouver cette réalité – la sauvegarde de la création et la justice sociale : elles vont de pair – en témoignant ainsi de la Résurrection du Seigneur. Si nous prenons soin des biens que le Créateur nous donne, si nous mettons en commun ce que nous possédons de façon à ce que personne ne manque de rien, alors nous pourrons véritablement inspirer l’espérance pour faire renaître un monde plus sain et plus équitable.

Et pour finir, pensons aux enfants. Lisez les statistiques : combien d’enfants, aujourd’hui, meurent de faim à cause d’une mauvaise distribution des richesses, d’un système économique que j’ai évoqué auparavant ; et combien d’enfants, aujourd’hui, n’ont pas droit à l’école, pour la même raison. Que cette image des enfants dans le besoin à cause de la faim et du manque d’éducation, nous aide à comprendre

que nous devrons sortir meilleurs de cette crise. Merci.

Audience générale 26.08. 2020

La demande en aide alimentaire a augmenté chez les étudiants et les familles nombreuses

La demande en aide alimentaire a augmenté chez les étudiants et les familles nombreuses


Avec la crise et la hausse du chômage, Claude Baland, président du réseau de la Fédération française des Banques alimentaires, redoute une seconde vague de l’explosion des besoins en aide alimentaire. Huit millions de Français pourraient avoir recours à l’aide alimentaire en 2020.

Les Banques alimentaires sont mises à rude épreuve. Ces dernières ont constaté une augmentation de la demande de 20 à 30 % depuis le début de la crise sanitaire, et elles y voient un effet direct des destructions d’emplois. Une tendance qui risque de s’accentuer puisque, à la fin de l’année, l’Insee prévoit une hausse du taux de chômage à 9,5 %.

Parmi les nouveaux bénéficiaires, de profils jusqu’ici épargnés : des étudiants, des familles nombreuses ou encore des autoentrepreneurs.

Nous constatons qu’il y a de plus en plus d’étudiants parmi les bénéficiaires. Les villes universitaires comme Toulouse, Caen, Lille ou Grenoble ont notamment eu massivement recours à notre aide. La pauvreté n’a pas favorisé la progression du Covid-19 en France, selon cette étude. Nous observons aussi un afflux de familles nombreuses, qui ont vu leur budget alimentation déstabilisé sans l’aide de la cantine.

L’OBS, 8 9 2020

Si, à 50 ans, tu n'as pas une piscine...

Comment la fièvre de la baignade s'est emparée de la France


Une vraie folie ! La France compte désormais un bassin pour trente habitants. Pouvoir piquer une tête à n'importe quel moment de la journée sans sortir de chez soi n'est plus un marqueur de réussite sociale. Les prix de cet accessoire, maçonné ou hors-sol, s'effondrent. La multiplication des périodes de canicule amplifie cet engouement.

« La Terre est bleue comme une orange », disait Paul Éluard. Et la France… bleue comme une piscine. Vues du ciel, ses villes et ses campagnes paraissent désormais comme mouchetées de points turquoise. Presque saturées de bassins carrés, rectangulaires, en forme de haricots. Et pour cause : selon les chiffres de la Fédération des professionnels de la piscine et du spa (FPP), il existe 2 millions de piscines en France, soit une pour trente personnes. Le deuxième marché mondial derrière les États-Unis. Cette folie du grand bain a même reçu un coup de pouce avec la pandémie, au grand plaisir des piscinistes.

« Les Français en ont rêvé pendant le confinement : on a eu deux à trois fois plus de prises de contact en vue d'un achat », se réjouit Gilles Mouchiroud, président de la FPP. Et ça continue. « Les gens sont devenus fous !, ...

(extraits)
Par Samuel Vivant dans « Marianne » 21.8.2020
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