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2ème dimanche de l'Avent – Année B – 6 décembre 2020

Évangile de Marc 1, 1-8

Commencement de la Joyeuse Nouvelle

2ème dimanche de l'Avent – Année B – 6 décembre 2020 – Évangile de Marc 1, 1-8
Pour le Seigneur, un seul jour est comme mille ans
et mille ans comme un seul jour.
Le Seigneur n’est pas en retard pour tenir sa promesse :
il veut que tous aient le temps de se convertir.

Le Jour du Seigneur viendra comme un voleur.

Les cieux disparaîtront, la terre sera brûlée.
Puisque tout est en voie de disparition,
vous voyez quels hommes vous devez être,
quel respect de Dieu vous devez avoir.

Ce que nous attendons,
selon la promesse du Seigneur,
c’est un ciel nouveau et une terre nouvelle
où résidera la justice.

Dans l’attente de ce jour, faites donc tout
pour que le Christ vous trouve
nets et irréprochables dans la paix.

(2ème Lettre attribuée à Pierre- 1ère lecture du jour)

Évangile de Marc 1, 1-8

Commencement de la Joyeuse Nouvelle


L’année nouvelle a débuté par un sérieux avertissement du Seigneur : « Veillez ! Veillez ! Soyez sur vos gardes ! ». Non pour nous faire trembler d’anxiété mais pour nous rendre attentifs. Car les événements les plus importants ne sont pas toujours ceux claironnés par les médias toujours avides de nous focaliser sur le spectaculaire et le superficiel. C’est ainsi qu’aujourd’hui, en commençant l’évangile de Marc, celui-ci nous rappelle que la plus grande aventure de l’histoire de l’humanité a commencé dans un coin inconnu, bien loin des fastes impériaux de Rome. Tout à coup une petite voix a retenti. Veillons et écoutons la voix de Jean-Baptiste.

Le Messager de Dieu


« Une voix crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers »


Pendant très longtemps, Israël et la Jordanie se sont disputés car les énormes ressources financières dues au tourisme étaient en jeu. Après de longues recherches, les archéologues ont tranché : selon les plus anciens vestiges découverts (ruines, signes d’un culte au prophète), c’est bien sur la rive orientale du fleuve Jourdain que Jean-Baptiste s’était installé. En se plaçant en-dehors de la terre sainte, le prophète invitait donc ses compatriotes à sortir de leur pays, à traverser le gué pour le rejoindre et écouter son enseignement. Lorsque, convaincus, ils avouaient leurs péchés, il les plongeait (c’est le sens du mot baptême) dans le fleuve de sorte qu’ils retournaient sur leur terre. Le baptême/plongée était donc un acte symbolique de purification en même temps qu’un passage.

Qui était ce Jean qui surgit tout à coup comme un météorite pour ouvrir l’évangile ? D’après Luc, il est le fils du prêtre Zacharie et d’Élisabeth si bien que, le sacerdoce étant héréditaire, ce jeune homme devait normalement officier au temple. Jean a reçu une vocation qui l’a fait rompre avec les liturgies sacrificielles de Jérusalem pour adopter la vie pauvre d’un prophète et notamment d’Elie dont il porte le vêtement distinctif : le manteau de poils de chameau. Les prophètes Jérémie et Ézéchiel étaient eux aussi d’anciens prêtres.

Le thème sous-jacent de ce début d’évangile est donc « le passage ». Jean passe du sacerdoce à la prophétie, de la liturgie à la prédication ; les gens sortent de chez eux puis passent de Transjordanie en Israël ; ils passent du péché à la purification, de la vie ordinaire à la décision de se convertir afin de préparer le chemin du Messie qui va venir.

Les trois Passages

« Sortir », « passer » : c’est le mouvement même qui dynamise toute l’histoire biblique. Au point de départ, Dieu a appelé Abraham à sortir de Mésopotamie pour traverser le fleuve Euphrate et passer en terre de Canaan. C’est pourquoi il s’appelle l’Hébreu qui signifie «qui vient de l’au-delà » du fleuve.

Bien plus tard, ses descendants étaient devenus, pendant des siècles, esclaves en terre d’Égypte : lors de la fête de printemps appelée « pessah » - la Pâque (en français : passage) - , Dieu, par Moïse, les a fait sortir, ils ont passé la Mer rouge, traversé le désert du Sinaï pour atteindre enfin le Jourdain. Moïse est mort là, au-delà, en Transjordanie et c’est son successeur, Josué (même mot en hébreu que « Jésus » = sauveur) qui a fait passer le Jourdain au peuple pour entrer en Israël. L’Exode est le récit de la libération par Dieu.

Au 6ème siècle avant notre ère, Nabuchodonosor a conquis Jérusalem, détruit son temple et déporté à Babylone le roi, les notables, les prêtres et une partie de la population. Mais quelques dizaines d’années plus tard, les Perses ont vaincu et le roi Cyrus a renvoyé les déportés dans leur pays. Cet événement sensationnel a été proclamé par un prophète anonyme, grand écrivain, auteur d’un livret que l’on a adjoint à l’ancien livre du prophète Isaïe, si bien que les chapitres 40 à 55 sont attribués à cet anonyme que l’on appelle le 2ème Isaïe. Un bel extrait de ce livre constitue la première lecture de ce dimanche.

La merveille est que le projet de Dieu rebondit toujours au fil du temps. L’évangéliste Marc a compris que la voix anonyme qui annonçait jadis la joyeuse nouvelle de la libération était en outre une prophétie de la mission de Jean-Baptiste. La voix inconnue qui lançait aux déportés en Babylonie la joyeuse nouvelle de la fin de l’exil et du retour au pays est maintenant la voix de Jean-Baptiste. Il est le messager de Dieu qui a mission de préparer la route.

Donc il y eut le 1er exode : la sortie de l’esclavage d’Égypte ; puis le 2ème : la sortie de la déportation en Babylonie. Maintenant voici le 3ème. De quelle libération s’agit-il ? Quelle route s’agit-il d’aménager ? Le travail est maintenant moral : « préparer le chemin » désigne le dur travail de conversion : enlever de nos cœurs les pierres de l’égoïsme et de la dureté, aplanir les boursouflures de l’orgueil et de la cupidité, combler les ornières de la tristesse et du désespoir, rectifier les louvoiements du mensonge et de la ruse.

La Morale insuffisante

Est-ce à dire que les exhortations pressantes, les encouragements chaleureux, les ordres impérieux vont suffire à réaliser notre passage à la liberté ? Non. L’histoire biblique prouve que, à travers les siècles, tous les appels et toutes les menaces des prophètes n’ont jamais réussi à convertir en profondeur le peuple élu.

Et Jean-Baptiste en prend conscience. Il remplit la dure mission qu’il a reçue de Dieu, il répète ses enseignements, il admoneste, il multiplie les plongées dans l’eau, il entend les belles promesses des baptisés qui l’assurent qu’ils vont changer de vie. Mais il ne les croit pas et il perçoit sa propre insuffisance. C’est pourquoi il commence à annoncer la venue d’un autre :

Voici venir derrière moi celui qui est plus puissant que moi.
Je ne suis pas digne de me courber à ses pieds pour défaire la courroie de ses sandales.
Moi je vous ai baptisés dans l’eau : lui vous baptisera dans l’Esprit-Saint.


Jean-Baptiste doit d’abord venir, il doit rappeler les exigences de la Loi, susciter le sens du péché, provoquer la demande explicite du pardon et le désir de la purification. Mais la morale doit être dépassée. Elle est nécessaire, indispensable, irremplaçable mais elle a ses limites. Non parce qu’elle est trop exigeante, ni parce que le prédicateur s’exprime mal, ni parce que nous, les auditeurs, nous sommes lâches et hypocrites. Mais parce notre volonté est déficiente, rétive à toutes nos bonnes résolutions cent fois répétées et toujours avortées. On ne fabrique pas sa plénitude à coup d’exploits. Le péché des pharisiens était de vouloir sculpter leur statue intérieure à coup d’efforts héroïques et de pratiques minutieuses.

C’est la grandeur immense de Jean-Baptiste de l’avoir compris : il a eu l’humilité de reconnaître qu’il ne pouvait pas, lui, accomplir le « passage » que Dieu demandait. La méthode des prophètes devait tout à coup changer de plan. Un « autre » allait venir, un fils d’homme, mais d’une identité infiniment supérieure, bien plus grande que celle séparant un maître de ses esclaves.

Ce mystérieux inconnu qui succédera à Jean et dont la venue est imminente, prêchera, exhortera, baptisera mais possédant l’Esprit de Dieu, il pourra le communiquer. Jean plongeait les hommes dans une eau qui lavait le corps mais ne pénétrait pas à l’intérieur de l’être ; Jésus aura le pouvoir de les plonger dans la Force de Dieu qui les pénétrera, les transfigurera. Il s’agira donc maintenant d’un événement bouleversant, incroyable pour beaucoup. Cet événement, c’est ce que Marc se propose de raconter et d’emblée il en proclamait triomphalement le contenu :

Commencement de l’Évangile de Jésus, Christ, Fils de Dieu

Nous sommes habitués à lire dans nos bibles et à entendre proclamer : « Évangile de Jésus Christ selon saint Marc ». En réalité cette formule est une invention de l’Église et le titre véritable du livre est bien : « Commencement de l’Évangile de Jésus, Christ, Fils de Dieu ». En grec 7 mots. Qui l’a écrit ? L’auteur se cache dans l’anonymat. C’est bien plus tard que l’Église donnera des noms aux 4 livrets. Quand a-t-il écrit ? On ne sait. Les spécialistes proposent les années 70 de ce qui sera notre 1er siècle, une quarantaine d’années après la mort de Jésus.

Etienne, Pierre, Paul et d’autres ont été exécutés ; les autres apôtres ont disparu. Perdues dans l’immense population de l’Empire, soupçonnées, critiquées, parfois persécutées, de petites communautés se développent en Israël, en Grèce, et même à Rome. Et Marc est le premier écrivain de l’histoire à écrire un « Évangile ».

Le mot lui vient du 2ème Isaïe dont nous avons parlé et signifie : « Joyeuse Nouvelle ». Il désigne donc d’abord une parole, une annonce vocale, une proclamation. Il ne porte que sur un sujet : la personne de Jésus dont Marc proclame fièrement l’identité : « Messie, Fils de Dieu ».Le but de Marc est de nous conduire à cette confession qui constitue l’acte même de notre libération. Croire en Jésus accorde la sortie de la nuit opaque de l’absurde, le passage dans la liberté, la naissance à la vie divine.

Et l’aventure commence quand tu acceptes d’obéir à une voix qui te dit : « Sors, passe, prépare le chemin de Dieu ». Lis Marc et tu rejoindras, à la fin, le soldat païen qui, devant la croix où Jésus vient de mourir, confesse : « Vraiment cet homme était Fils de Dieu »( 15, 39).



Frère Raphaël Devillers, dominicain

Pape François : « Réveille-nous ... »

Pape François : « Réveille-nous ... »

L’Avent est le temps où il faut faire mémoire de la proximité de Dieu qui est descendu vers nous. …Le premier pas de la foi est de dire au Seigneur que nous avons besoin de lui, de sa proximité.

Reconnaître que Dieu est proche et lui dire : « Approche-toi encore ! ». Il veut venir tout proche de nous, mais il se propose, il ne s’impose pas ; c’est à nous qu’il revient de ne pas nous fatiguer de lui dire : « Viens ! ». Invitons-le. Faisons nôtre l’invocation typique de l’Avent : « Viens, Seigneur Jésus » (Ap 22, 20). Une petite prière, mais elle naît du cœur. Disons-la en ce temps de l’Avent, répétons-là.

Vigilance

Ainsi, en invoquant sa proximité, nous exercerons notre vigilance. Une erreur de la vie est de se perdre en mille choses et de ne pas s’apercevoir de la présence de Dieu. Saint Augustin disait : « J’ai peur que Jésus passe et que moi je ne m’en rende pas compte ».

Attirés par nos intérêts et distraits par tant de vanités, nous risquons de perdre l’essentiel. C’est pourquoi, le Seigneur répète aujourd’hui « à tous : veillez ! » (Mc 13, 37). Veillez, soyez attentifs. La nuit passera, le Seigneur se lèvera, il nous jugera, lui qui est mort en croix pour nous. Veiller, c’est attendre cela, c’est ne pas se laisser submerger par le découragement, et cela s’appelle vivre dans l’espérance.

Comme avant de naître nous avons été attendus par ceux qui nous aimaient, maintenant nous sommes attendus par l’Amour en personne. Et si nous sommes attendus au Ciel, pourquoi vivre de prétentions terrestres? Pourquoi nous fatiguer pour un peu d’argent, de renommée, de succès, toutes ces choses qui passent? Pourquoi perdre du temps à nous plaindre de la nuit alors que la lumière du jour nous attend ? Pourquoi chercher des « parrains » pour avoir une promotion dans la carrière? Tout passe. Veillez, dit le Seigneur.

Sommeil de la médiocrité

Il y a un sommeil dangereux : le sommeil de la médiocrité. Il vient quand nous oublions le premier amour et avançons par inertie, en ne pensant qu’à vivre dans la tranquillité. Mais sans élans d’amour pour Dieu, sans attendre sa nouveauté, on devient médiocres, tièdes, mondains. Et cela ronge la foi, parce que la foi est ardent désir de Dieu, elle est audace continue de se convertir, elle est courage d’aimer, elle est d’aller toujours de l’avant.

Et alors, comment pouvons-nous nous réveiller du sommeil de la médiocrité ? Par la vigilance de la prière. Prier, c’est allumer une lumière dans la nuit. La prière réveille de la tiédeur d’une vie horizontale, élève le regard vers le haut, nous harmonise avec le Seigneur. La prière permet à Dieu d’être proche de nous ; c’est pourquoi elle libère de la solitude et donne l’espérance.

La prière oxygène la vie : tout comme on ne peut pas vivre sans respirer, de même on ne peut pas être chrétiens sans prier. Et on a tant besoin de chrétiens qui veillent pour ceux qui dorment, d’adorateurs, d’intercesseurs, qui portent jour et nuit devant Jésus, lumière du monde, les ténèbres de l’histoire. Nous avons perdu un peu le sens de l’adoration, de rester en silence devant le Seigneur, en adorant. Sommeil de l’indifférence.

Sommeil de l’indifférence

Il y’ a ensuite un second sommeil intérieur : le sommeil de l’indifférence. Celui qui est indifférent ne s’intéresse pas à celui qui lui est proche. Lorsque nous tournons seulement autour de nous-mêmes et de nos besoins, indifférents à ceux d’autrui, la nuit descend dans notre cœur. Vite, on commence à se plaindre de tout, puis on se sent victime de tous et finalement on fait des complots sur tout. Plaintes, sentiment de victime et des complots. C’est une chaîne.

Comment nous réveiller de ce sommeil de l’indifférence ? par la vigilance de la charité. La charité est le cœur battant du chrétien : on ne peut être chrétiens sans la charité. c’est l’unique chose gagnante, parce qu’elle est déjà projetée vers le futur, vers le jour du Seigneur, quand tout passera et qu’il ne restera que l’amour. C’est avec les œuvres de miséricorde que nous nous approchons du Seigneur.

Viens, Seigneur Jésus, nous avons besoin de toi. Viens tout près de nous. Tu es la lumière : réveille-nous du sommeil de la médiocrité, éveille-nous des ténèbres de l’indifférence. Viens, Seigneur Jésus, rends vigilants nos cœurs qui maintenant sont distraits : fais-nous ressentir le désir de prier et le besoin d’aimer.

Pape François
Homélie du 30.11.2020 – extraits

8 Décembre : Fête de Marie, Immaculée Conception

8 Décembre : Fête de Marie, Immaculée Conception

Suite aux mesures sanitaires, ce 8 décembre, le pape François ne s’est pas rendu comme d’habitude place d’Espagne pour une prière à Marie au pied de la colonne de l’Immaculée. Voici des extraits de la prière qu’il avait prononcée en 2019.

«O Marie Immaculée, nous nous rassemblons autour de toi une fois de plus. Plus nous avançons dans la vie et plus notre gratitude envers Dieu augmente d'avoir donné comme mère à nous qui sommes pécheurs, Toi, l'Immaculée Conception. De tous les êtres humains, tu es la seule préservée du péché, comme mère de Jésus Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde. Mais ce singulier privilège qui est le tien t'a été donné pour notre bien à tous, tes enfants.

En fait, en te regardant, nous voyons la victoire du Christ, la victoire de l'amour de Dieu sur le mal : là où le péché abondait, c'est-à-dire dans le cœur humain, la grâce a surabondé, par la douce puissance du Sang de Jésus.

Toi, Mère, rappelle-nous que, oui, nous sommes pécheurs, mais nous ne sommes plus esclaves du péché ! Ton Fils, avec son sacrifice, a brisé la domination du mal. Il a vaincu le monde.

Ainsi tu nous rappelles qu'être pécheur et être corrompus, ce n'est pas la même chose : c'est très différent.

Tomber et ensuite, se repentir, se confesser et se relever avec l'aide de la miséricorde de Dieu, est une chose. La connivence hypocrite avec le mal, la corruption du cœur qui à l'extérieur s'affiche impeccable, mais qui, à l'intérieur, est plein de mauvaises intentions et d'égoïsme mesquins, est une autre chose.

Ta pureté nous appelle à la sincérité, à la transparence, à la simplicité. Nous avons tant besoin d'être libérés de la corruption du cœur, qui est le plus grave danger ! Cela nous semble impossible, nous sommes tellement « addicts », et pourtant, c'est à portée de main. Il suffit de regarder vers le haut, vers ton sourire de Mère, vers ta beauté immaculée, pour sentir à nouveau que nous ne sommes pas faits pour le mal, mais pour le bien, pour l'amour, pour Dieu !

Pour cela, ô Vierge Marie, aujourd'hui, je te confie tous ceux qui, dans cette ville et partout dans le monde, sont opprimés par la méfiance, par le découragement à cause du péché ; ceux qui pensent qu'il n'y a aucun espoir pour eux, que leurs fautes sont trop nombreuses et trop grandes, et que Dieu n'a pas de temps à perdre avec eux.

Je te les confie, car tu n'es pas seulement une mère et tu ne cesses jamais d'aimer tes enfants, mais tu es aussi l'Immaculée, pleine de grâce, et tu peux refléter jusque dans les ténèbres les plus épaisses un rayon de lumière du Christ ressuscité. Lui, et Lui seul, brise les chaînes du mal, libère des addictions les plus avides, délie des liens les plus criminels, adoucit les cœurs les plus durs. Et si cela se produit à l'intérieur des personnes, alors le visage de la ville change !

Dans les petits gestes et les grandes décisions, les cercles vicieux deviennent progressivement vertueux, la qualité de vie s'améliore et le climat social est plus respirable. Nous te remercions, Mère Immaculée, de nous rappeler que, par l'amour de Jésus Christ, nous ne sommes plus esclaves du péché, mais libres, libres d'aimer, de nous aimer, de nous aider comme frères, même si nous sommes différents.

Merci de nous encourager à ne pas avoir honte du bien, mais du mal. Aide-nous à nous tenir à distance du mal, qui nous trompe et nous attire vers lui, dans des spirales de mort. Donne-nous le doux souvenir que nous sommes enfants de Dieu, Père d'une immense bonté, source éternelle de vie, de beauté et d'amour. Amen».
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