Je crois qu’il y a une manière de vieillir heureux, qui parvient, au-delà de tous les aléas de la vie, à trouver encore la joie d’aimer. Je crois que, malgré le corps qui se délite, les maladies et les maux qui prennent de l’importance, malgré les possibilités qui se réduisent parfois drastiquement et même quand vient le sentiment d’approcher de la fin, il reste de la place pour l’espérance et la joie parce que, jusqu’au bout, nous gardons intacte notre capacité d’aimer.
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